Pouvez-vous trop cuire le chashu ?
Peut-on vraiment trop cuire le chashu, le plat de porc japonais tendre et savoureux ? La clé de sa succulence n'est-elle pas précisément dans le processus de braisage lent et doux qui permet à la viande d'absorber toutes ces riches saveurs et de devenir tendre jusqu'aux os ? Ou y a-t-il un danger à laisser mijoter trop longtemps, ce qui pourrait dessécher la viande et perdre cet équilibre parfait entre tendreté et jutosité ? Les chefs et les cuisiniers à domicile se sont-ils retrouvés à repousser les limites du braisage, pour finalement se retrouver avec un plat loin d'être idéal ? Je suis curieux de savoir s'il y a une ligne fine entre un chashu parfaitement cuit et un chashu trop cuit.